Pour Bischoff, l’argent passe avant les cotes d’écoute

Sur son podcast 83 Weeks, Eric Bischoff a répondu à une question portant sur la manière la plus juste de mesurer le succès d’une compagnie de lutte.

Celui qui a bien connu la guerre des cotes d’écoute, alors qu’il était président de la WCW durant les années 90, durant les années 1990, soutient que la AEW mise trop sur les cotes d’écoute, surtout dans le groupe démographique 18-49 ans, en réponse à cette question.

Bischoff soutient que l’argent passe avant toute chose. Il soutient que si une compagnie de lutte ne vend pas de publicité, ça ne lui sert à rien d’être premier dans le “demo” au niveau des cotes d’écoute.

Le reste, selon lui, relève du divertissement et des relations publiques, ou encore un moyen pour la communauté de lutte d’alimenter des discussions.

“Dollars, that’s it. It’s just dollars. Everything else is incremental measurements that may suggest or indicate some level of performance or lack thereof. What f***ing difference does it make if you’re dominating 18-49-year-old demos but nobody is buying your ads, who cares? It all comes down to dollars, there’s only one metric. There’s only one measurement that at the end of the day actually matters and that’s dollars.

“Everything else is just entertainment value or public relations value, or more than anything, it’s clickbait for the online wrestling community to create an engagement and discussion of something that most people who are discussing it have no f***ing clue what they’re talking about. If you’re growing your revenue and growing your profit margin, that’s what it’s all about. All those other little metrics, which is a fun word to use now, that you can use and analyze are nothing more than a little road map to get you to the real road map which is dollars.”

Bischoff ajoute que la AEW doit être prudente dans son embauche de lutteurs provenant de la WWE, car chacun doit avoir sa chance de briller et ça ne sert alors à rien d’en engager autant.

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