L’auteure sherbrookoise Amélie Bibeau, qui a lancé deux des trois tomes de la trilogie « Derrière le masque », inspirée du monde de la lutte, a été récompensée par l’Association des auteurs et auteurs de l’Estrie.
C’est lors du Salon du livre de l’Estrie, tenu récemment à Sherbrooke, qu’Amélie Bibeau a été honorée, pour le tome 1 de « Derrière le masque », en recevant le Prix Suzanne-Pouliot-Antoine-Sirois, décerné pour la meilleure oeuvre en littérature jeunesse.
Cette oeuvre, qui incorpore des combats de lutte dans l’histoire – a pour but de dénoncer l’intimidation chez les jeunes. Il a été
« Tant mieux si je réussis à susciter la réflexion sur l’intimidation, tout en démystifiant le monde de la lutte. J’espère éventuellement rejoindre davantage de jeunes, notamment avec des conférences », confiait Amélie Bibeau à Lutte.Québec lors d’une récente entrevue.
Durant la cérémonie au Salon du livre de l’Estrie, l’auteure a affiché sa surprise, soutenant que la littérature jeunesse, de manière générale, mérite davantage de reconnaissance.
Le jury a souligné l’originalité de son oeuvre, traitant de l’intimidation sous un angle différent, le tout avec des personnages et une écriture de qualité.
Amélie Bibeau en a profité pour remercier son conjoint Sébastien Morin, également son lutteur préféré (« Johnny La Magouille »), de croire autant en elle.
Le troisième livre aura comme titre « La prise de l’ours ».