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26/02/2020 | Chroniques

Cédrick “Big Buck” Lortie, charisme et passion

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Pour faire d’un gala de lutte une réussite, il faut bien sûr des lutteurs de talent. Mais afin de chauffer les fans à bloc, l’annonceur joue un rôle majeur. Âgé à peine de 28 ans, Cédrick Lortie a su s’imposer rapidement comme un maître dans son domaine, grâce à son charisme et sa passion.

C’est en 2008 – alors qu’il avait 16 ans – que Cédrick fait ses premiers pas dans le monde de la lutte.

« J’ai suivi des cours de lutte à la 2AW, une promotion basée à Saint-Jean-sur-Richelieu et gérée par Ben Brunette. Je me suis également lié d’amitié avec Oli Roberge. C’est finalement comme arbitre, puis comme annonceur, que je me suis démarqué lorsque j’ai joint la FLSH, à Saint-Hyacinthe », mentionne-t-il.

Après neuf ans de pause, Cédrick revient pour de bon en tant qu’annonceur de lutte. Il animait déjà des matchs de hockey junior AAA à Chambly.

« J’avais un projet de podcast sur la lutte, mais qui n’a finalement pas décollé. Mais j’ai eu des rencontres marquantes, notamment Benjamin Tull, Éric “Oz” Ouimet et Kat Von Goth (Katherine Chouinard), qui m’ont permis de faire ma place. À l’été 2018, j’ai fait mes débuts comme annonceur à la XZW, à Sorel-Tracy et un an plus tard, ce fut au tour de la NCW de me faire confiance », raconte-t-il.

Cédrick a retrouvé « Oz » sur sa route, ce dernier lui confiant l’animation des galas de la Fédération montérégienne de lutte (FML), à Saint-Jean-sur-Richelieu, en octobre.

« Je suis heureux de collaborer à cette promotion très dynamique dans ma ville d’origine et au Sanctuaire, je me sens vraiment chez moi. Je présente par ailleurs les combats VIP de La Descente du Coude (LDDC), à Montréal, avant les galas officiels animés par Oli Roberge et c’est toujours très agréable. De plus, je participe à des galas ailleurs au Québec – dont à la FAW, à Danville et à LLCV, dans Lanaudière -, soit comme annonceur, gérant ou commisssaire. J’animerai d’ailleurs le gala de la EWE, à Saint-Hyacinthe, le 14 mars. Mes week-ends sont fort bien remplis! », dit-il.

Cédrick a développé avec le temps un personnage de « redneck » fort sympathique – influencé par son amour de la musique country et de la bande dessinée Henri pis sa gang - , portant fièrement le chapeau de cowboy. Celui qui adore notamment le golf et la lutte « vintage » (notamment Buff Bagwell, de la WCW!) apprécie grandement le contact avec les fans. Les réputés annonceurs Dave Penzer, Tony Chimel et Howard Finkel font partie de ses idoles.

« Qu’il y ait 50 ou 500 personnes dans la salle, je donne toujours mon 300 %. Je carbure à l’énergie des spectateurs, qui sont vraiment très gentils avec moi. La lutte québécoise est en santé et les fans sont de plus en plus exigeants, ce qui est normal. La qualité est heureusement au rendez-vous, en général, à travers la province et je sens une belle entraide entre plusieurs promotions de lutte. Et je prends mon rôle très au sérieux, même si je m’amuse vraiment beaucoup! », conclut-il.

(photos gracieuseté Kim Valiquette – FML et RebelShot – LDDC)

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